Les 10 critères éliminatoires des Guidelines QR de Google

 

Ca y est je l’ai fini, achevé, je suis arrivé au level 160 ! Et vous, vous en êtes où sur cette dernière version ? Ouais, la dernière version (supposée) des (supposées)  Guidelines Google pour les Quality Raters ?

160 pages de lecture en anglais à avaler. Ayant un niveau d’anglais aussi puissant qu’un sprint de poney, il a fallu pour moi une concentration maximale, du café, un stabilo et un stylo pour prendre des notes.

Vous pouvez le retrouver :

Il n’y a pas un point qui vous choque dans ce nombre « 160 » ? Moi ça m’a immédiatement fait penser au QI des lecteurs de Keeg, Einstein en tête. Parait-il que c’est aussi le plus petit nombre n avec exactement 12 solutions pour l’équation varphi(x) = n,. M’ enfin, si vous me le permettez je développerai cette équation sur mon blog spécialisé regroupant les mathématiciens français lisant eux des bouquins d’au moins 180 pages.

Résumé du Guidelines pour les Quality Raters

Bon alors, ce General Guidelines, ça donne quoi en résumé ? En résumé c’est franchement sacrement intéressant. Vous n’apprendrez aucune technique miracle, aucune technique spammy fonctionnelle (quoi que)  mais ça permet deux points cruciaux :

  1. Refixer les bases de ce qu’attend réellement Google
  2. Comprendre ce qui emmerde Google dans son approche algorithmique

De mon coté, je me suis fait une grosse grille qui va nous permettre en interne de juger les pages des sites Internet à partir de l’ensemble des critères du document destiné au Quality raters de Google. Un document complet, simple à compléter et très puissant pour faire comprendre au client les déficiences de la page étudiée et du site dans son ensemble. Je vous conseille de vous en créer une si vous avez du temps. Je publierai peut-être la mienne plus tard.

Je vais m’attarder sur ce que j’ai nommé les « critères éliminatoires« . La présence de critères éliminatoires pour votre page ou site Internet est radicale : en gros, si le quality rater juge un de ces critères avec une note basse, votre note globale sera automatiquement cette note là.

Le document fait globalement ressortir 3 points explicites comme étant d’une importance capitale pour le positionnement :

  • La qualité du contenu principal
  • Ce que disent les experts du domaine de votre page ou site (en gros, votre popularité thématique)
  • La réponse de votre contenu à la requête (étude indépendante du site en lui-même)

David C. a fait un article assez complet là dessus. Je vous conseille cependant de lire le document PDF en entier.

Évidemment, ces deux points ont un total rapport avec l’algorithme. On peut parier le fait que l’ensemble des critères, ou presque, donnés aux Quality Raters sont les critères qu’essayent aussi de déterminer l’algorithme pour calculer le positionnement.

Les critères éliminatoires

J’en déduis fort logiquement que les critères éliminatoires doivent l’être aussi peu ou prou pour la partie algorithmique. Bien entendu, qu’on ne s’y trompe pas, le moteur est un moteur dans le sens où il ne peut avoir la perspicacité d’un humain. C’est bien pour ça que ce document permet, entre les lignes, de comprendre ce qui emmerde Google dans son approche algorithmique. 😉

Voici les critères éliminatoires :

1. Qualité du contenu général (pouet !)

Critère éliminatoire

En gros, si ton contenu c’est de la daube, même si le reste du site est génial, c’est le clap de fin. La qualité de contenu se traduit par un certain nombre de variables présentées dans le document. Un jugement rationnel vous permet simplement et facilement de jauger la qualité générale, normal.

2. Keyword Stuffing

Critère éliminatoire

Les années 90, là où tu te déhanchais sur les 2be3.

3. Contenu non compréhensible ou auto-généré

Critère éliminatoire

Google n’aime pas la génération de contenu, même si ce n’est pas 100% crade. Et si tu fais toujours de l’autoSplog, forcément, ça ne passe pas.

4. Fonctionnalités du contenu secondaire

Critère éliminatoire additionnel

Si ton contenu secondaire est pauvre,  alors tu seras mal noté. Si je prends un exemple tiré par les cheveux, un PDF : le contenu peut être très bon, mais le contenu secondaire autour du contenu principal est inexistant. Du coup, réduction des possibilités de positionnement.

5. Informations sur le site et les auteurs

Critère éliminatoire selon la thématique

Google souhaite voir mis en avant les informations sur le site, sur les personnes en charge du site ou du contenu, les informations de contact, les CGV et j’en passe. Mais tout dépend de la thématique. Google accepte et ne sanctionne pas l’anonymat si celui-ci est justifié. Tu es une grand-mère qui publie des photos de sa couture ? Aucun problème. Tu es un YMYL ? Là, il faut faut blinder d’informations. Les YMYL, « You Money or Your Life », sont les thématiques qui influent sur le bonheur, la santé et l’argent. Google y est particulièrement attentif.

6. Mises à jour du site

Critère éliminatoire additionnel

Si ta thématique nécessite des mises à jour, alors il faut les mener à bien sous peine de voir ta page ou ton site mal noté, même si tout le reste est parfait.

7. Design en adéquation avec l’objectif

Critère éliminatoire

Poussez totalement les gens à remplir un formulaire payant en tapotant du clavier avec les pieds et sans respirer alors que votre visiteur souhaitait simplement connaitre la teneur en calories d’un café sans sucre, c’est mal.

8. Site spammé / hack / malveillant

Critère éliminatoire

Arrêtez de mettre des ancres déguelasses dans mes commentaires qui fait passer mes articles pour du spam.

9. Renseignements sans motif

Critère éliminatoire

Si ta page / site demande des renseignements personnels sans motif légitime, alors c’est grillé.

10. Expertise sur le sujet

Critère éliminatoire selon la thématique

Si votre expertise n’est pas démontrée par d’autres experts pour les sites YMYL, alors vous êtes éliminés d’office. Sur ces thématiques, Google veut avoir la certitude de positionner un site d’une qualité approuvée. Pour les sites non YMYL, ce critère n’est en soit pas éliminatoire mais influe très fortement sur la note finale.

 

Vous en déduirez avec une logique implacable comment travailler, que vous souhaitez travailler en totale adéquation avec les demandes ou en totale adéquation en faisant croire que vous respectez les demandes. A votre convenance.

36s Commentaires à “Les 10 critères éliminatoires des Guidelines QR de Google”

  1. Raph@audit référencement

    Hello Alex et merci pour la citation.
    Un bon article et plein de bon sens qui fait du bien à lire.
    Beaucoup ont oublié des fondamentaux et jugent que ce n’est plus une priorité. Et pourtant, ça fonctionne toujours à la perfection.
    Je ne sais pas si c’est moi qui suis en ce moment dans un monde de bisounours, mais je trouve celle nouvelle mouture des GL vraiment intéressantes et probablement a plus censée que j’ai lu jusqu’à présent.
    Il faut aussi tirer des conclusions de ce qui a disparu des GL, un prochain article ?
    thx et à plus l’ami

    Répondre
  2. Je ne connaissais pas la distinction « YMYL », mais plus les filtres adultes et gambling, ce qui doit revenir à peu prêt au même.
    Perso je trouve que ce linker d’un ancien site d’expert (expiré) ça pousse toujours très bien 😉

    Répondre
  3. Kévin GAMBIN

    Perso j’en suis au niveau 70, c’est imbuvable (Le café), et mon stabilo est tout sec…. Je vais pas choisir la facilité et attendre les articles des autres non, non, je vais lire jusqu’au bout… Si, si.
    L’auto-persuasion, quand tu nous tiens !

    Merci pour ces premiers retours,

    Répondre
  4. @Raph : Franchement pas bête de faire une comparaison, mais ça prends pas mal de temps. Moi je navigue entre le bisounours mignon et le bisounours coupeur de tête et arracheur de doigts. J’ai bien le mignon en ce moment cela dit.

    @Simon : YMYL ne prends pas les sites adultes mais pour le gambling, c’est bien ça. Il suffit ensuite de rentrer d’autres thématiques et on y est

    @Kévin : Lis, lis, tu as raison. 😉

    Répondre
  5. Bonjour,

    très sympa cet article. Pour ma part, je suis un peu dans le camp des flemmards qui attendent que des articles comme celui là tombent du ciel, faute de temps bien sûre^^

    Sérieusement, l’article est bien conçu et apporte des petits trucs sympa.

    Régis

    Répondre
  6. Augustin@coup d'oeil

    Merci pour ces éléments indispensables pour réaliser un bon SEO : efficace et surtout durable !

    Répondre
  7. Julien@GrowthHack

    Attention quand même pour le critère éliminatoire n°1 : la qualité du contenu ne se détecte pas facilement sur des sujets complexes. Et donc le Quality Rater de Google qui passe sur ta page qui parle de référencement et de growth hacking basé sur Salton et les n-grams, s’il ne connaît pas un minimum le sujet, comment va-t-il définir la qualité de la page, puis du site ?

    Il faut pas s’imaginer qu’un QR passe du temps à se documenter sur un sujet lorsqu’il doit évaluer un site…

    Répondre
  8. HamsTramGram

    Des centaines de quality raters notent des centaines de pages afin d’apprendre à l’Algo de Google comment les classer.

    Les quality raters n’influent pas directement sur les classements, il me semble qu’il y a beaucoup de machine learning …

    Répondre
  9. @Julien : Tu as tout à fait raison. C’est bien pour ça que les QR se base sur des sous-critères (que j’ai nommé variable) sur la qualité du contenu. C’est aussi pour cela qu’il y a une importance fondamentale donnée aux avis des autres experts du sujet. Et, pour continuer, c’est pour cela que pour les YMYL doivent obligatoires disposer d’avis positifs d’expert pour être bien considérés.

    Répondre
  10. Merci pour ce superbe article complet et bien écrit.
    Je me permet d’ajouter que pour l’échange de liens, il est très fortement recommandé d’échanger avec des sites ayant le même thème que votre site web.

    Répondre
  11. Merci pour ce résumé ! Je me voyais mal me taper les 160 pages de guidelines… Je vais quand même lire la partie sur la qualité du contenu afin de revoir précisément les critères !

    Répondre
  12. Jérémy

    Ah mais il y en a qui refont surface ?

    J’ai des articles en retard sur ton blog moi…et les guidelines à lire ^^

    Merci en tout cas pour ton point de vue,

    Répondre
  13. Éric NIAKISSA

    Merci pour ce décryptage complet !

    Je suis juste supris de constater que Quality Raters soit chargés d’identifier les sites spammés, hackés ou malveillants car Google bot le détecte plutôt bien puisque ces informations sont disponibles dans Google Webmaster Tools. Quel est leur rôle : déceler les vrais négatifs ou les faux positifs ?
    D’ailleurs ce point (7.1 page 40) n’est pas particulièrement très développé.

    Encore merci et bravo pour cette synthèse 🙂

    Répondre
  14. Antoine from Immobilier Marbella

    Ton « Résumé du Guidelines pour les Quality Raters » me plait mais tout comme Ludo je pense me retaper toute la partie sur la qualité du contenu qui d’après moi est le plus gros du travail.

    On est souvent amené à traiter des domaines divers et variés, être rationnel s’avère parfois compliqué !

    Répondre
  15. Alexandre Santoni

    @Jérémy : I’m back !

    @Éric NIAKISSA : Google détecte tout très bien, c’est clair. Le problème c’est que très bien n’est pas parfaitement. 😉

    Répondre
  16. Back to basics! Google poursuit dans la lignée du référencement qui se fait « tout naturellement » à partir du moment où le contenu du site est de qualité. Sauf que les critères de popularité (par la reconnaissance par les « experts » du domaine) ne laisse pas vraiment de place pour les petits nouveaux, talentueux mais qui n’ont pas (pas encore?) été adoubés par leurs pairs! La prime à la stratégie de communication plutôt qu’à l’expertise en quelque sorte…
    En tout cas Merci pour cet article et pour pour ton temps passé à décoder ce document!

    Répondre
  17. Alexandre Santoni

    @Claire : C’est ça, une expertise sans communication, ça ne vaut pas grand chose. Les petits nouveaux doivent prouver leur expertise, et c’est en soit logique, comme dans la vraie vie : A l’échelle d’internet sans les facteurs extérieurs, comment un nouveau peut-il avoir une expertise plus forte qu’un ancien ?

    Ce qui est gênant à mes yeux, c’est surtout la surpuissance des très gros sites. Des paramètres plus égalitaires devraient être mis en place : Une PME spécialisée sera sans doute plus douée qu’un gros généraliste. Le classement ne reflète pas vraiment ça dans une bonne majorité des cas. Google a annoncé une mise à jour en ce sens, mais on l’attend toujours.

    Répondre
  18. Christophe@consultant

    Merci d’avoir lu les 160 pages en anglais 😀
    Bon, on savait déjà qu’il fallait mettre du bon contenu c’est pas nouveau, mais lorsqu’une définition claire de la part de Google sera émise, je serai preneur 😉

    Répondre
  19. Pour ma part, j’ai bien aimé cette partie: « 160″ ? Moi ça m’a immédiatement fait penser au QI des lecteurs de Keeg ». En tout cas, félicitation pour avoir fini la lecture et le résumé de ces 160 pages en anglais. Ensuite, Merci pour ce partage. A présent, c’est à nous d’approfondir le sujet.

    Répondre
  20. Steve@Consultant SEO

    Fiou ! j’ai aussi l’intention de me lire les 160 pages mais j’ai déjà un bon apercu grâce à toi ! Même si cela ne semble pas révolutionner ce qu’on en sait, c’est un bon moyen d’appuyer nos arguments et valider certaines suppositions comme le point sur le design.
    Thanks !

    Répondre
  21. Jim Jams

    Bonjour à tous
    J’ai quand même une question qui me taraude… Vous parlez d’expertise dans son domaine et je peux comprendre que ce soit important, vous parlez aussi de contenu qui vaille la peine et ça aussi je peux le concevoir mais, en E commerce notamment, comment expliquer que les mastodontes soient systématiquement devant avec du contenu pauvre, bien souvent très mal traduit… Bien souvent dupliqué aussi sur x fois le même produit avec juste une toute petite différence de couleur ou de motif par exemple… Quand on sait qu’en plus ils sont prêts à écraser tout le monde, comment voulez-vous qu’ils adoubent des petits pour les confirmer un tant soit peu dans leur « nouvelle » expertise ?

    Répondre
  22. Alexandre Santoni

    @Jim Jams : Je suis 200% d’accord avec ton questionnement. Google a annoncé dans une prochaine MAJ vouloir favoriser les PME, on attend toujours. Pour répondre à ta question, c’est simple : leur contenu réponds parfaitement à la requête + confiance absolue de Google (information, liens d’expert, communauté et j’en passe). Si un QR va sur une page d’un très gros de l’e-commerce, il répond à la question suivante : est-ce que cette page aide l’utilisateur ? La réponse est plutôt oui chez les mastodontes. Tu associes ça à l’immense popularité et tu as le résultat, dans la mesure où Google donne nettement plus de points à cet aspect là.

    Moi aussi, ça me fait râler, c’est de la légitimité trop simple et trop facile, d’où l’annonce de Google de vouloir corriger. Mais on attend toujours.

    Répondre
    • Jim Jams

      J’avais vu l’annonce aussi, j’étais même soulagée qu’ils aient vu mais comme rien ne vient, que les autres grossissent de plus et que nous on se tue à la tâche pour une misère, je dois dire que je suis plutôt du côté des découragés et comme je ne veux pas prendre d’adwords (entre nous les mastodontes pourraient se les payer sans aucun souci les annonces payantes) déjà par principe et que je pense sincèrement que mes produits sont de bien meilleure qualité, je me dis que les consommateurs finiront par les trouver (ceux qui ont trouvé reviennent quasi tous d’année en année, je pense donc que mon raisonnement est le bon)

      Répondre
  23. Cool merci pour l’article, ça permet de se faire un check et de se « rassurer » sur sa propre approche. Je suis seo pour un site de e-commerce assez difficile à fournir en contenu parce que très « niche » avec un produit pas très sexy…
    Chapeau bas pour les 160 pages =)

    Répondre
  24. Nicolas

    Merci pour le récap mais je vais commencer a lire les 170 pages. Un peu de lecture sur la plage, ca fait pas de mal pour reprendre des bonnes habitudes a la rentrée.

    Répondre
  25. Merci pour ces éléments indispensables dans une stratégie SEO, votre article est vraiment très complet !
    Par contre je ne pense pas que la qualité du contenu soit en première position…c’est toujours plus difficile de juger l’aspect qualitatif…

    Répondre
  26. Swapland

    Peut-on alors espérer que les réseaux sociaux nous permettent (actuellement) de rivaliser ou du moins de ne pas être dépendant des Adwords.

    Je dis cela en ayant conscience qu’aujourd’hui il est également possible de faire de la publicité payant sur les réseaux sociaux (pour ne pas cité le bébé de Mark Zuckerberg).

    Répondre
  27. doubik

    Bonjour,

    très sympa cet article. Bon on savait déjà qu’il fallait mettre du bon contenu, mais si seul le contenu sera pris en compte par Google on va avoir un peu de mal ( et pourquoi pas d’ailleurs, pour un journal la qualité d’un article n’est pas dans le titre)

    Répondre
  28. Sébastien

    damn it 160 pages in english, tu as eu du courage !! mettre du bon contenu ce n’est pas nouveau mais c’est surtout le faire à comprendre à l’ogre Big G que c’est du bon contenu. Mais à l’époque j’aimais bien la technique du keyword stuffing, même maintenant on peut retrouver certains sites web (e-commerce ou vitrine) utiliser cette technique…bof bof..

    Répondre
  29. quoi qu’il en soit, on attend toujours jusqu’à maintenant mais il ne se passe encore rien 🙁

    Répondre
  30. Salut à tous,

    Perso j’attends aussi avec impatience la MAJ qui va favoriser les PME, car je pense que la majorité de nos clients ne sont pas les gros mastodontes, qui eux, n’ont pas besoin de nous…

    Répondre
  31. ziad allani

    merci pour ce résumé même si à la lecture de ton article on se rend compte que la guide line de Google n’a pas beaucoup évoluée, en gros il faut du bon contenu pertinent, une bonne fréquence de mise à jour, et faciliter au maximum la vie au internaute, et tout ceux qui essayent de tricher avec Google passeront tôt ou tard à la trappe.

    Répondre
  32. Il est vrai que les guidelines gg pour human raters lorsqu’on les imprime, c’es tun gros pavé de + de 200 pages je crois, merci de nous en avoir tiré les traits principaux.

    Répondre
  33. Le chirurgien

    Merci pour l’article, il parait être utile et efficace pour un meilleur référencement, les critères ont été bien expliqué, je trouve ça très intéressant mais on attend toujours le moyen surement efficace que Google admet sans problème !

    Répondre
  34. Bonjour
    je soupçonne sa majesté Google premier de compliqué la vie des référenceurs pour espérer mieux vendre ses Adword … Les exigences de sa majestée Google 1er deviennent totalement ridicule car si on suit le Guideline de Google à la lettre les liens doivent etre créé naturellement par les utilisateurs …il faut donner envie aux utilisateurs l envie de créé des liens qui pointent vers son site ….totalement surréaliste et irréalisable pour une grosse agence Seo …

    Répondre

Laisser un Commentaire